Champ libre !
Rien à faire. Tout à faire. Lorsque l’on ne fait rien, le tout n’est pas loin.
Prendre le temps de rien. Par les temps qui courent, quelle provocation ! Rien ne sert de courir. Ralentissons.
Pourquoi tout faire vite ?
Prenez le temps des petits riens. Rien ne presse. Ne rien faire à tout instant. Dès que possible. Rien.
Ne faites rien. Maintenant. Même une minute. Je sais, c’est difficile.
La vie est faite de petits riens. Elle est même pleine de ces petits riens du tout. C’est la somme des petits riens qui forment le tout.
Derrière RIEN, il y a TOUT. Qu’on se le dise.
A partir de maintenant, entraînez-vous à faire RIEN. RIEN DU TOUT. Vous verrez, ce n’est pas rien.
Prendre un temps de rien. Faire le vide. Partir de rien. Repartir de rien.
Faire à partir de rien. On peut faire beaucoup avec rien.
« Mieux vaut n’penser à rien
Que n’pas penser du tout
Rien c’est déjà
Rien c’est déjà beaucoup… » comme le dit la chanson « Ces petits riens » de Serge Gainsbourg.
C’est le petit rien qui change tout. Ce tout, plein de riens.
Faites la liste de ces petits riens qui vous font plaisir.
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–
…
A partir de maintenant, offrez-vous un de ces petits plaisirs par jour. C’est rien, mais ça compte.
Et pour le plaisir les paroles de la chanson de Serge Gainsbourg « Ces petits riens »
Mieux vaut n’penser à rien
Que n’pas penser du tout
Rien c’est déjà
Rien c’est déjà beaucoup
On se souvient de rien
Et puisqu’on oublie tout
Rien c’est bien mieux
Rien c’est bien mieux que tout
Mieux vaut n’penser à rien
Que de penser à vous
Ça n’me vaut rien
Ça n’me vaut rien du tout
Comme si de rien
N’était je pense à tous
Ces petits riens
Qui me venaient de vous
Si c’était trois fois rien
Trois fois rien entre nous
Evidemment
Cà ne fait pas beaucoup
Ce sont ces petits riens
Que j’ai mis bout à bout
Ces petits riens
Qui me venaient de vous
Mieux vaut pleurer de rien
Que de rire de tout
Pleurer pour un rien
C’est déjà beaucoup
Mais vous vous n’avez rien
Dans le cœur et j’avoue
Je vous envie
Je vous en veux beaucoup
Ce sont ces petits riens
Qui me venaient de vous
Les voulez-vous ?
Tenez ! Que voulez-vous ?
Moi je ne veux pour rien
Au monde plus rien de vous
Pour être à vous
Faut être à moitié fou.
Par Cloé Przyluski